Joie, Bonheur et Plaisir par tous les temps ! Avec canalisation
- Le 02/08/2024
- Dans communications angéliques
- 7 commentaires
Chers Tous,
Le Bonheur, Il devrait être notre seul véritable objectif, notre Valeur Sure ! Et pourtant on lui associe souvent cette petite phrase quasi mesquine : "il ou elle a pourtant (ou pire avait) tout pour être heureux". Ou encore "l'argent ne fait pas le bonheur " .....
Vous souvenez-vous, lorsque vous étiez enfant, de la joie innocente que vous aviez à vivre l'instant, avec des amis de votre âge, cousins ou frangins, scolaires ou non, à vous amuser d'un rien ? Faire des cabanes dans des bottes de paille, déshabiller ou rhabiller indéfiniment votre poupée, ou vous raconter des histoires incroyables en posant des jouets de toutes sortes, parfois très simples ? Oui, il y avait aussi des larmes, comme chez tous les enfants, mais ils ont cette capacité à passer du rire aux larmes, et inversement, en ignorant l'instant d'après, ce qui s'est passé l'instant d'avant. Bien entendu, il y avait des peurs, mais elles ne vous pourrissaient sans doute pas les 24 heures de la journée.
Puis est venue l'adolescence et l'état adulte, avec ses inquiétudes et ses obligations : il faut, je dois, demain .......
Si bien qu'aujourd'hui, certains associent la vie, et ses inévitables difficultés à un manque intrinsèque de bonheur. Progressivement, l'oiseau rare s'est déguisé en ligne d'horizon : immense, impalpable, toujours plus loin.
Un sociologue vous répondra que tout va bien lorsque la balance est positive : 3 parts de joie pour 2 de son contraire (à puissance égale) ! C'est vrai et faux ! Le bonheur n'est pas uniquement une histoire de maths. Et puis comment le quantifier ? Cet adage sert pourtant efficacement, en thérapie, à expliquer à quelqu'un pourquoi il ne va pas bien et comment il pourrait aller mieux : un peu plus de joie dans votre vie !
Facile à dire ma petite dame !!!
Mais si .... Plus facile qu'il n'y paraît.
Quand on étudie le sujet, on s'aperçoit que les grands plaisirs ne sont pas associés à l'argent : être amoureux par exemple, faire une randonnée dans un paysage superbe, profiter de sa famille, embrasser ses enfants ou petits enfants, se faire un grand moment entre amis, etc...... Bien entendu de nombreux sujets de joie y sont reliés - à tort : avoir une nouvelle maison, voiture, piscine, des vacances dans un pays de rêve à 15 heures d'avion de là ..... Dans les faits, une fois la maison achetée, ou encore la voiture, le bonheur passe vite à autre chose : ma déco, ma révision, mon jardin. Etc...... Et les vacances de rêve ne durent qu'un instant, également soumises à de terribles conditions : droit de voyager, coût prohibitif, compagnon de voyage etc....
Une chanson de Jean-Jacques Goldman disait avec justesse qu'il n'y a pas de suicide à Kingshasa. Pourtant il n'y a pas grand chose de confortable dans cette contrée. Mais on dépense plus d'énergie à survivre qu'à tourner en boucle dans sa tête sur toutes les raisons pour lesquelles on souffre. Oui la survie est parfois une cause réelle et sérieuse pour être inquiet, mais vivant et actif, ce qui est le contraire de l'état dépressif. D'où parfois des survivalistes qui, de fait, en s'entrainant à la survie, sont dans un scénario plus marrant que métro/boulot/dodo.
Le fameux métro/boulot/dodo : le meilleur actionnaire de Prozac.
Je ne dénie pas toutes les bonnes raisons que nous avons, plus souvent qu'à notre tour, de râler ou de pleurer. Mais j'affirme, pour bien connaître le sujet, que la joie est possible en toutes circonstances (j'exclus de fait les moments atroces : perte des enfants etc... qui réclament un deuil).
Mais elle doit faire l'objet de soins, et d'actes concrets ! Et reste possible par tous les temps (et je vais vous le prouver)
1°) Le prix du bonheur
Le bonheur n'a pas de prix. Du temps où j'oeuvrais en tant que consultant, sur la terrible gestion du stress, nous finissions souvent par des groupes de travail qui devaient énumérer 10 véritables façons de se faire plaisir à moins de 1 franc, puis moins de 1 euro. En voici une petite liste, mais à vous de faire la votre.
- Se ballader seul dans les bois ou la campagne
- Voir un ou une amie
- Prendre un café à une terrasse ensoleillée
- Regarder la pluie tomber depuis sa fenêtre, bien au sec
- Jouer avec ses petits enfants
- Faire un repas, gateau, apéro pour sa famille ou ses amis (faire une brioche ne coûte vraiment pas cher, ok, peut-être plus qu'un euro)
- Faire un cadeau, des fleurs séchées sous un vieux cadre de récup dans le grenier, y marquer des mots d'amour
- Caresser son chat, son chien, son lapin, son mec (non j'ai pas listé par priorité :)
- Rire d'une bonne vanne, en raconter une à son tour, et même chanter une paillarde
- Boire un p'tit blanc sec au comptoir (d'accord c'est devenu plus cher)
- Lire
- Chiner les vieux livres (je collectionne les vieux Jimmy Guieu pour un prix qui va de 0,50 à 1,80)
- Prendre un bain avec des huiles essentielles (10 gouttes de lavande par exemple)
- Allumer une bougie et mettre de la musique
- Faire des projets heureux (mais réalisables), comme de voyager en vélo (franchement je n'ai pas dépensé grand chose et j'ai été tellement joyeuse)
- Prier
- Se relier à l'esprit Christique
- Apprendre sur un sujet qui nous passionne
- Faire des choix là où c'est possible
- Se faire propre avec une touche de parfum
- Etc
Ces petits ou grands bonheurs ne dépendent généralement pas de votre portefeuille. Une bouteille de mon parfum me dure 2 ans, donc même par temps lourds, ça reste peu onéreux. Mais il s'agit de ma liste ou d'un simple exemple. Il s'agit de vous rappeler de la votre. Il n'y a pas non plus de priorité, une joie est une joie et éclaire le moment. Bien entendu, on peut argumenter sur le fait que certains plaisirs sont difficiles en temps de guerre. Mais oui, mais non. Il est aussi possible de lire en temps de guerre, de se faire propre, et d'échanger avec d'autres. Le cinéma regorge de ces histoires de guerre qui ont été heureuses dans un climat général tragique. Ma tante a rencontré mon oncle en fin de seconde guerre mondiale ....... Elle était infirmière Française et lui aviateur Allemand, premier couple franco-allemand marié après guerre. Mis à part les moments de crise, il y a toujours moyen de se faire plaisir. D'accord vous allez me parler d'un état de siège, ou de bombardements, mais ce jour là ok. Jusqu'ici vous ne l'avez sans doute pas vécu, sauf militaire. Et pourtant avez vous accordé assez de poids à la joie ? Et les militaires me diraient sûrement qu'il y a quand même des moments de sourire et de réjouissance, y compris en plein état de guerre.
2°) Repérer et combattre les ennemis du bonheur
Ce sont des démons vicieux. Ils vous disent à l'oreille que pour être heureux, il faudrait que ....... Tsssssssss Et non ! C'est faux !
Il existe une liste d'ennemis connus
- Demain
- Si.... (ma tante en avait, elle s'appelerait mon Oncle)
- Pas le temps
- Envie de rien Grrrrrrr
- Impossible
- Quand les corvées seront finies
- Ai-je le droit ?
- C'est cher
- Je dois, il faut
- C'est mal (dolorisme)
- Je suis coupable de .....
- Ma vie est finie, car il ou elle est parti(e) - le refus de deuil
- C'est simple d'être malheureux et de se plaindre, en plus on vient me câliner (si si)
- Se dire qu'on est malade, handicapé, vieux, foutu
- Pleurer sur son pauvre sort, ou la complainte de Caliméro
- C'est pas le moment
- "mon précieux" : garder pour soi avec la peur de perdre
- etc (liste également longue)
La plupart du temps, ces répliques ne sont que de mauvaises illusions. Ou quand elles sont exactes, il est possible d'organiser son moment à Soi. Et si vous ne le faites pas, alors tôt ou tard vous allez finir avec une petite ou grosse déprime.
S'occuper de Soi et de Son bonheur est une nécessité vitale qui vous rend plus facile à vivre et plus disponible aux autres
3°) Transformer une corvée en acte heureux
Indéniablement, certaines tâches sont peu agréables. Mais la façon de les éclairer change absolument tout. Suis-je en train de faire du désherbage (tâche peu glorieuse, on en convient) ou de décorer mon jardin ? Ou encore de méditer en mon Temple ? Suis-je en train d'attendre bêtement à la gare, ou d'avoir un moment disponible pour réfléchir ? Suis-je contraint de me laver ou ai-je le plaisir d'une bonne douche ou bain ? Suis-je en train de me taper le ménage et la cuisine, ou de préparer la maison pour ceux que j'aime ? Suis-je en train de maudire le gouvernement ou de prendre des forces pour résister ? Suis-je à la veille de terribles évènements qui vont me faire de la peine, ou vais-je pouvoir me rendre utile et jouer un rôle que je souhaite choisir ?
Tout évènement, à l'exception des plus graves, peut-être perçu comme un moment à exploiter dans le bon sens. Il faut parfois y ajouter un ingrédient personnel pour aider : un peu de musique par exemple ? Ou un peu d'encens ? Le véritable salaire est celui de la motivation. Et la motivation dépend de l'éclairage. Alors non tout n'est pas transformable en pur moment de joie, mais transformons déjà le possible.
4°) La prière - la reliance à l'esprit Christique (propos non religieux, il s'agit d'un esprit général)
Prier est un moment pour Soi, même quand on le fait pour autrui ! Il s'agit de se déshabiller de ses vêtements quotidiens, afin de se relier à un Soi plus lumineux et à une conscience plus élevée, afin de communiquer avec la Lumière.
Quoi de plus beau que de monter dans la lumière avant de s'endormir. De sentir la nature immuable de l'Amour ......
5°) Faire son deuil de .....
On fait son deuil des morts bien entendu, mais pas que ! On peut faire son deuil de la jeunesse, de la validité, de la richesse, de la facilité, d'un ami qui n'en est plus un, d'un amoureux qui ne l'est plus, d'un état heureux qui se termine, d'une absence de souffrance (ou le deuil de la bonne santé) etc.....
Il existe, indéniablement, des moments difficiles, et même horribles. Il est impératif de vivre le deuil afin de pouvoir continuer sur la route qui nous est impartie. Refuser durablement une situation ne la fait pas changer, mais a un effet destructeur. Il faut tourner la page de toute souffrance, ce qui nécessite d'accepter parfois de pleurer, de se mettre en colère, de refuser en incendiant Dieu et tous les anges, etc..... Mais tôt ou tard, il est nécessaire de tourner la page pour ceux qui restent, car ne pas le faire est finalement un acte égoïste qui dit que ma souffrance est la seule chose importante.
Parfois il reste des cicatrices. Indélébiles. Pour autant il faut continuer et accepter l'idée de se réjouir à nouveau. Et surtout éviter le "c'est trop injuste" de notre vieux pote Caliméro.
Votre conjoint est parti en vous laissant dans une merde noire avec 2 gosses et des charges impossibles à payer : d'accord c'est super dur. Mais de se le répéter ne changera rien à l'affaire. Par contre de privilégier sa vie sociale rendra la chose plus légère. Oui je sais, ce n'est pas toujours aussi simple. Ca ne l'a pas été pour moi non plus. Mais tout a un début un milieu et une fin, y compris la souffrance.
Les grandes épreuves de la vie provoquent parfois ce que l'on appelle des dépressions réactionnelles : le cerveau a bien du mal à conserver son équilibre chimique et l'on plonge dans une marée noire gluante qui semble vouloir nous noyer durablement. Souvenez-vous bien du fait que votre cerveau n'est pas votre conscience et qu'il s'agit d'un organe : acceptez donc l'idée de vous soigner par tous les moyens à votre disposition, afin de rétablir la chimie cérébrale.
Dans le temps, le deuil servait aussi à cela : un temps pour se vêtir de noir à 100% (le grand deuil), puis de revenir à la normalité et enfin de mettre un terme au deuil et revêtir son corps de couleurs. Ces mécanismes sociaux étaient précieux.
Quant aux cicatrices, nous sommes des guerriers. Nos cicatrices sont là pour dire que nous avons accepté ce plan terrestre avec ses mauvaises blagues. Une cicatrice, c'est la Vie, tout simplement.
6°) Faire attention aux bénéfices secondaires
Ce sont des démons de seconde catégorie, mais très vicieux tout de même.
Un bénéfice secondaire est une situation pénible dans laquelle finalement je me maintiens car elle me rapporte un truc qui, inconsciemment, constitue un bénéfice.
La cigarette est un exemple facile : je râle que je fume et que demain je m'arrête, mais fumer me permet :
- De râler
- D'occuper mes doigts
- De discuter avec mes collègues dans l'espace fumeurs
- De sortir prendre l'air pendant les repas familiaux à peine longs
- D'occuper ma bouche en suçant un truc
Un bénéfice secondaire classique, nommer un coupable pour échapper à Soi-même
Ou chez moi je reste dans un état de plainte permanente car tel ou tel problème n'est pas résolu (mon mari n'a toujours pas fini de changer ma cuisine alors que ça fait des années que je lui demande) ; mais cette plainte permanente sur un sujet phare (nous avons tous de vrais motifs de nous plaindre) me permet d'exprimer une vraie fausse raison au fait que finalement je ne suis pas heureux ou satisfait de façon générale : en bref, je nomme un coupable, et le bénéfice est de focaliser l'attention du mari (ou de la femme, ou du chat, soyons inclusifs) qui peut culpabiliser à l'idée de ne pas avoir répondu à ma demande, qui en cache une autre ne dépendant pourtant pas de lui, ou d'elle, ou du chat : mon état global insatisfait.
Le bénéfice de la maladie
Le malade est souvent égocentrique. Il faut dire que depuis tout petit on a appris un truc : quand on est malade, maman s'occupe (enfin) de nous (cas fréquent, mais non systématique). L'adulte s'en souvient à un niveau inconscient et se dit que au moins, au titre de son état, il existe aux yeux des autres. Il peut s'agir de sa maladie ou de celle d'un proche. Je me souviens d'un voisin qui avait une petite fille handicapée. Il ne se présentait pas lui-même autrement que par "vous savez, le papa de la petite handicapée" puis suivait une demande pénible qu'il aurait fallu aquiescer au simple motif que sa vie était difficile.
Le bénéfice de ne rien faire
Tellement plus facile de se plaindre que de se prendre en main ! Vous n'allez pas bien ? Ok, moi non plus parfois. Mais relevez la tête et faites-vous du bien tout seul ! Ou si le problème est insoluble, trouvez des motifs de compensation, y compris petits et multiples, comme évoqué au-dessus.
Nous avons tous accumulé quelques bénéfices secondaires, qui nous font nous apitoyer plutôt que de devenir pro-actif !
7°) Rester heureux en période de crise
Alors il existe des moments où le mot bonheur peut paraître quasi insalubre (genre la Seine pour le Triathlon) ! On est en guerre, la ville a été bombardée, il faut aller chercher de l'eau car l'eau courante a été coupée et ma fille hurle qu'elle a une rage de dents.
Alors oui c'est vraiment pourri comme situation, et il y en a qui vivent ça depuis plus de 2 ans en Ukraine !
Mais changeons d'éclairage : pendant cette horrible période, je vais être le meilleur de moi-même, procurer aux miens ce qu'il faut ou participer à, résister, devenir créatif pour trouver des solutions, avoir de la force mentale et me prouver que je suis quelqu'un de foncièrement bon. Je vais devenir ce petit héros quotidien dont ils ou elles ont besoin, et à leur tour eux aussi. Il y aura des pleurs, mais pas que. Il y aura ce jour heureux où j'ai débouché une bonne bouteille que je gardais, ou que j'ai trouvée. Il y aura ces moments de fierté car nous aurons été créatifs tous ensemble, et formé une équipe.
Et si au lieu de vivre pour moi, je vivais l'esprit Christique afin que la lumière envahisse mon coeur et me permette de donner à tous ?
Il y a les moments de crise globale, durable et pénible : divorce, crise économique, chômage etc...... Mais outre l'éclairage à modifier (divorce = fini de laver les slips et les chaussettes de ce connard, par exemple), il y a surtout moyen d'apprendre une nouvelle façon de vivre. Toute crise veut dire que le système est en train de se transformer (c'est de la systèmique, une science peu connue), c'est donc Toujours l'occasion de réinventer, cocréer et remettre en question pour mieux et plus adapté.
La période actuelle, même si sinistre, est aussi l'occasion de se préoccuper d'un avenir meilleur et plus pertinent pour tous. Nous avons la chance de voir venir "la bête de l'évènement" comme dirait notre Bien Aimé Président de la Ripoux-blique ...... Alors justement, capitalisons chaque possibilité de joie et préparons-nous de façon résiliente à vivre heureux simplement. C'est une forme de résilience très aboutie qui permet de se projeter, y compris dans des situations délicates. D'ailleurs la résilience, c'est surtout ça : se projeter et anticiper des solutions simples pour continuer à bénéficier d'une certaine normalité (manger à sa faim, avoir chaud en hiver et se protéger (soi et les siens)).
Bref, il peut y avoir des moments de joie dans toutes les situations.
Mais si ça peut vous aider : je suis comme tout le monde, parfois je pleure sur mon pauvre sort ...... Et puis ça repart !
8°) Vivez vos rêves plutôt que de rêver votre vie
Une règle qui devrait être apprise tôt ! Vous rêvez d'aller faire 3 semaines de retraite dans un ermitage ? D'avoir un cheval ? De faire l'école du cirque ? Ou je ne sais quoi : mais trouvez un rêve à mettre en oeuvre, et zut à ceux qui vous disent que vous êtes complètement Fou (comment, tu vas laisser la maison seule et ton mari avec les 3 enfants pendant que tu te barres en vacances dans un couvent ????).
Ne laissez personne combattre vos rêves. Ils sont précieux. La vie n'est pas une fatalité, ou pire encore : "une tartine de merde dont on mange chaque jour un petit bout", la vie, c'est une conquête ! Un défi ! Un challenge !
Parole des guides
Vous avez choisi cette vie sur cette terre pour devenir une meilleure version de vous-même en conscience. Ce n'est pas une tâche facile. Vous passez d'un état heureux et intemporel, sans contrainte, à un état absolument contraint et limité. Il faut du temps, au nourrisson, pour se faire à cette vie de matière, alors même qu'une part de sa conscience vibre encore dans une autre dimension.
Puis vous oubliez. Vous oubliez la raison pour laquelle vous avez "signé" ce départ dans la matière et l'expérimentation.
Nous pourrions vous répondre que cette expérience ne dure qu'un instant dans l'éternité qui est celle de l'âme, cela ne modifierait pas votre conscience terrestre. Car ce sentiment d'extrême durabilité de la vie, et notamment de ses souffrances, est difficile à dénier.
Mais il vous est possible de transformer la perception que vous avez de l'effort à fournir. Un effort conséquent, pour lequel vous êtes précisément venu chercher l'expérience. Il vous semble parfois que c'est injuste, injustifié et sans la moindre contrepartie positive ! C'est pourtant faux, chaque expérience, y compris la plus difficile, permet à votre âme de s'expanser en direction de la lumière, afin de rejoindre le divin, non pas comme un voyage vers, mais comme une extension qui finira par vous faire cotoyer votre nature profonde et lumineuse.
Ce cheminement peut être effectivement vécu de multiples façons, et c'est à vous de prendre la décision de la couleur générale de votre tableau. Nous pouvons vous soutenir, voire vous guider si vous nous le demandez, mais il ne nous est pas possible de tenir le pinceau à votre place.
Profitez donc de chaque situation qui vous est présentée, comme d'une étude pour l'âme. La peine n'en sera parfois pas moins forte, mais elle sera un instant dans un tout plein de sens, et non un tout plein de peine et dénué de couleur.
Fin de canalisation
Mes remerciements à Sonia qui m'a conseillé très justement d'écrire sur le sujet
Gros bisous heureux à tous
Elizabeth
Apocalypse;fin des temps;bonheur;nouvelle terre
Commentaires
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- 1. Cécile Le 04/08/2024
Merci beaucoup Santiago. Très belle phrase effectivement, à garder en tête. -
- 2. Santiago Le 02/08/2024
Merci de votre réponse Elisabeth. Bien compris. Connectés! -
- 3. Elizabeth :) Le 02/08/2024
Coucou Santiago, Cécile,Marjorie, oui on a tous parfois des moments difficiles ! Dieu merci on en sort toujours ! Concernant les bouquins en question, les guides ont une mention que je qualifierais de distante : tout ouvrage contient sa part de sagesse. De leur part, je vois très bien ce qu'ils veulent dire (pour Conversation avec Dieu). Concernant l'ensemble de ce type de livres, ils préconisent une lecture à traduire en actes concrets afin que ça ne reste pas lettre morte. Gros bisous :) -
- 4. Santiago Le 02/08/2024
Chère Cecile,
Laissez-moi partager avec vous une phrase que j’affectionne tout particulièrement, et qui lorsque les vents contraires se lèvent, j’aime me répéter à l’envie. Probablement la connaisez-vous. Cette phrase que j’ai faite mienne, est une phrase que l’on attribue à Nelson Mandela:
« Dans la vie, je ne perds jamais… soit je gagne, soit j’apprends… » -
- 5. Marjorie Le 02/08/2024
Bonjour Elisabeth,
Juste MERCi pour ce texte magnifique. A lire et relire.
Bonne journée. -
- 6. Santiago Le 02/08/2024
Bonjour Elisabeth,
Tellement d’accord avec « vos » guides, ou plutôt « nos » guides devrai-je dire. Leurs réponses sonnent à chaque fois juste dans mes « oreilles »… donc mil mercis à vous pour vos canalisations.
P.s dans ce sens, Elisabeth, pourriez vous me dire ce qu’ils pensent (guides) de livres comme « Amitié avec Dieu, Conversation avec Dieu… » de Neale donald Walsch … Sincère ou fraude? Manipulation ou ouvrage majeur amenant à l’éveil spirituel comme ce fut mon cas?
Quelle est leur position à ce sujet? Ce sujet avait fait grand débat ici même… sans que je n’arrive à une conclusion définitive… (malgré mon intuition la plus profonde… )
Ah… et est-ce que par hasard vos/nos guides sont ceux mêmes mentionnés dans les tommes 2 et 3 de CAD, à savoir les EHE (Être hautement évolués???) …
La même chose pour « le pouvoir du moment présent » et « Nouvelle Terre » de Edgar Tolle… arnaque? Tromperie? Sincère?
Bien à vous. Avec toute ma bienveillance. -
- 7. Cécile Le 02/08/2024
Bonjour,
Sujet qui tombe à pic pour moi. Moral à zéro et solitude ++ Du mal à envisager l'avenir. Je n'aime pas cet état, ce ressenti, et je sais que ça passera, mais en attendant cette bouillie noire qui encombte mon cerveau est difficile à supporter. Si j'arrivais à pleurer un bon coup, ça me ferait du bien, histoire de me vider, me nettoyer et passer à autre chose, mais pour l'instant ça ne veut pas.
Je ne suis pas défaitiste et je ne fais pas mon Calimero non plus, je sais que ça passera. Ça fait juste mal, pour l'instant.
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