Chers Tous,

Que sommes-nous en train de vivre ? Comment apercevoir l'étape suivante pour mieux nous y préparer ?

Nous préparer : fondamental ! Survivre, et enfin co créer ! Affirmer qui on est en tendant la main aux siens (la définition du mot Siens variant bien entendu).

Pour commencer, je vous propose un article actuel qui expose, à mon sens, très bien le passage actuel et l'intrication des évènements et des anciennes prophéties bibliques, avec leurs citations précises :

https://www.mondedemain.org/revues/2025/janvier-fevrier/trois-propheties-qui-changeront-votre-vie

Le cheval blanc des Jeux Olympiques

Un excellent article ! Et je préfère vous donner le lien que faire un mauvais plagiat en voulant résumer ce qui est déjà concis à mon sens.

Hier je reprenais, en lieu et place de l'éditorial, cet extrait de l'apocalypse :

Apocalypse 13:11-18

Louis Segond (pasteur protestant et théologien qui a traduit la Bible à partir de l'Hebreu et du Grec entre 1874 et 1880).

11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon.

12 Elle exerçait toute l'autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie.

13 Elle opérait de grands prodiges, même jusqu'à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes.

14 Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu'il lui était donné d'opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l'épée et qui vivait.

15 Et il lui fut donné d'animer l'image de la bête, afin que l'image de la bête parlât, et qu'elle fît que tous ceux qui n'adoreraient pas l'image de la bête fussent tués.

16 Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front.

17 Et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.

18 C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.

A la lecture de cet article, et à la relecture de cet extrait prophétique de l'Apocalypse, je ne peux m'empêcher de me replonger et me connecter à cette époque. Se connecter de façon extra temporelle n'est pas compliqué. Pour une raison que j'ignore. Il semblerait que ce soit une capacité acquise à cause de mes différents voyages dans le temps (et dont on ne me laisse voir que quelques extraits). Connection et Canalisation : 

Voyez donc Jésus le Christ qui discute au soir avec les siens. Le premier cercle, seulement le premier cercle. Tous pensent que c'est maintenant et qu'ils sont en train de vivre la fin des temps puisque le Maître est parmi eux. Ce sont des apôtres pour nous, mais à l'époque, ce sont des gens simples qui font partie de sa famille. Ils voient midi à leur porte et ont beaucoup de mal à s'extraire de leur actualité. Une actualité difficile, on vit au temps des Romains. Jérusalem est donc envahie. Il fait nuit, le temps est doux, il y a des arbustes et ils sont assis à terre, avec quelques bonnes choses à partager. Il souffle une brise légère et Jésus est si calme, paisible, rien n'annonce, dans son comportement, qu'il va bientôt être supplicié. Et tous pensent que c'est maintenant ! Car Jérusalem est en danger, et qu'elle l'a déjà été, le temple ayant déjà été détruit, puis reconstruit, et les juifs maltraités.

Jésus pourrait leur répondre Non, pas encore, et il le fait, mais avec des mots prudents. Un peu comme le ferait une voyante à qui une femme ou un homme demande quand est-ce qu'il va enfin rencontrer l'Amour. Oui ça va se passer, et il y aura des choses incroyables, mais il faut encore attendre un peu. Un peu pour vous c'est quoi ? Quelques semaines, quelques mois ? Certainement pas 2.500 ans. Puis Jésus leur conta la fin. Voilà ce qui va se passer.

Il parla longuement. Evoqua les prodiges qui se produiraient sur terre. Mais avec des mots de l'époque, car ils étaient hors concept pour ces gens nés dans leur temps. Ce n'était même pas de la science fiction c'était tout à fait inenvisageable. Que dit-il ? 

Que beaucoup de détails étaient encore à venir. La société allait se corrompre, les marchands du temple seraient partout, auraient tout envahi. Puis chacun n'aurait plus qu'une idée en tête : vendre et acheter, vendre pour pouvoir acheter. De sorte que tout ce qui comptait aujourd'hui allait s'enliser dans les boues de l'argent. Hors, on ne pouvait servir à la fois le Père et l'argent. La Foi allait donc également se corrompre. Et acomme aux premiers temps de la création du Monde, ceux qui devaient guider, se livreraient à des perversions sans nom. Et tout ce qui faisait l'équilibre entre le corps, l'esprit, et le lien au Père, allait s'effondrer. Les gens tomberaient malades, comme les bêtes. Et tout ce que vous connaissez sera détruit : le temple, mais pas seulement.

Les envahisseurs seront de plus en plus violents et intolérants, toute forme d'abondance disparaitra de façon à affamer le peuple qui voudra se sauver de Jérusalem afin de survivre. Ils ne pourront plus travailler ou acquérir les biens du quotidien sans avoir l'aval des envahisseurs. Et ceux-ci marqueront le peuple comme l'on marque les bêtes. De sorte que vous serez comme du bétail.

Mais Rabbi, tu es là, et tu peux arrêter tout cela.

Je ne le ferai pas, vous devez d'abord vivre tout cela et le monde entier doit apprendre de ses erreurs. Je dois d'abord disparaître. Puis je reviendrai au troisième jour, à la fois pour vous rassurer, vous assurer de la présence du Père à travers moi, et aussi vous aider à affirmer qui vous êtes.

Jésus savait ce qui allait se passer. Mais il n'était pas possible, ni de leur dire, ni de leur dire plus que le nécessaire : qui était qu'ils allaient recevoir la force de partir délivrer un message destiné à traverser le temps et l'espace. 3 jours pour eux, c'était en quelque sorte 3 jours. Et il fit en sorte que ce le fut. Mais il fallait en retenir le chiffre 3 : l'union entre l'âme, le corps et l'esprit, autrement dit le retour au Père. Un long cheminement du peuple de la Terre......

Il était en train de leur dire avec douceur qu'il fallait d'abord qu'il s'en aille, et que l'arbre porte les fruits. Parce qu'il savait qu'ils se sentiraient nus et seuls. Comme moi parfois, lorsque le manque de sa présence se fait sentir. Parce que le connaître une fois, c'est le début d'une quête sans fin. Puissiez-vous ressentir cela ?

Enfin, ils rentrèrent tous chez eux, comme Jésus dans sa famille. Et on n'en parla plus pendant un bon moment, jusqu'au repas, le fameux repas.... Que tous prirent comme un repas de fête. Alors même qu'il annonçait que le temps de son départ était venu. Et qu'il fallait leur dire, avec une infinie subtilité et tendresse. Imaginez ce grand gaillard aux yeux d'Amour, qui a bien du mal à parler sans blesser quiconque, même pas Judas. Et Judas, c'est un prénom symbole. Judas, c'est à la fois le peuple, le lieu, l'histoire du monde, la tragédie Juive, sa mort. Et le fait qu'il faut la trahison pour que le maître parte, puis revienne.

Ils (les apôtres, le premier cercle) avaient l'impression de vivre tout cela : ce monde qui partait en lambeaux. Et lorsque le Rabbi fut sacrifié, ils en eurent confirmation. Ce que les rabbi du temple dénièrent à grand renfort d'annonces : tout ceci n'avait rien à voir avec le Messie. C'était un faux !!!!! Et lorsqu'il - Jésus - revint leur parler, 3 jours après sa mort, afin d'honorer sa promesse, ils eurent l'impression de vivre une véritable apocalypse, et que le Maître allait les aider à construire la nouvelle Jérusalem, que l'on allait bouter l'envahisseur plus loin, etc.... etc....

C'est alors qu'il leur répondit que non, qu'il fallait d'abord enseigner le peuple. Et qu'il y avait encore des évènements à vivre. Mais qu'ils seraient aidés. Puis il leur avoua qu'il devait partir. Qu'il reviendrait un jour. Mais que maintenant, ils étaient grandis et aptes à continuer sans lui.

Tous durent partir. La chasse aux disciples était ouverte à Jérusalem. Les rabbis du temple voulaient reprendre leur pouvoir spirituel et les Romains ne voulaient pas de désordre social. En leur proposant de partir et de parler en son nom, Jésus tenait non seulement à voir le message circuler, mais aussi à les sauver d'une situation locale devenue à haut risque. C'est ainsi que les évangélistes partirent à la rencontre de toutes les civilisations de la terre. Pas seulement 4 évangélistes, mais bien plus. les Marie quittèrent Jérusalem et traversèrent la Méditerranée à toutes fins de se mettre à l'abri. Mais je ne les perçois pas seules sur une barque. La barque, c'est juste à l'arrivée.

Jean, devenu Saint-Jean, finit sur Patmos. Il vit dans son passé, sa mémoire. Il communique avec Jésus comme il peut. Maintenant nous dirions qu'il canalise. Il veut laisser une oeuvre majeure qui raconte l'Apocalypse : autrement dit l'histoire de ce qu'il a partiellement vécu et de ce qui sera à nouveau, avant que Jésus, le Rabbi, ne revienne. Il est très âgé. Très seul. Un peu comme un vieux fou dirait-on aujourd'hui. Mais il a son auditoire et ceux qui viennent écouter ses histoires incroyables qui parlent du retour du fils de Dieu. Car il y a beaucoup d'espoir dans ses propos et il ne fait pas qu'écrire l'apocalypse. Il raconte la vie de Jésus au quotidien, sa merveilleuse compassion, sa colère face au consumérisme montant et au monde qui se nécrosait sous le joug d'emepreurs fous.

Comme Jésus, il utilise des symboles, et il reçoit des visions. Parfois des rêves, parfois des canalisations. C'est un Médium de son temps. Douloureusement marqué par l'absence de Jésus. Et par les souffrances de toute une vie. Comme il est loin le temps des sourires au bord de l'eau et des poissons grillés. S'il pouvait discuter avec Jésus en chair et en os, il lui demanderait le sens de tout cela. Et jésus lui répondrait que l'Homme met le temps qu'il souhaite à revenir vers son Père. Et qu'il y aurait beaucoup de hoquets dans cette respiration perpetuelle. Que le tout revenait à dominer la matière et à éviter qu'elle ne prenne le pouvoir : l'esprit sur la matière et non l'inverse.

Et puis, il vallait mieux être prudent et parler avec des métaphores. Parce que parler franchement, c'était politiquement dangereux. Il en avait fait l'expérience.

C'est ainsi que naquirent les textes que nous cherchons encore aujourd'hui à comprendre. Ils sont faits avec les mots d'hier. On n'y parle donc pas d'armes à feu, mais d'épée. On n'y parle pas d'écran, mais d'une image animée. On n'y parle pas de bombardement, mais de faire descendre le feu du ciel. On n'y parle pas de transhumanisme, ou de puce, et encore moins d'implant, mais de marque, comme pour les esclaves. C'est aussi ce qui rend ce texte partiellement intemporel. Quoique le feu du ciel et l'image animée appartiennent fatalement au plus tôt au vingtième siècle.

Ce qui peut aussi vouloir dire que l'apocalypse a commencé avec les grandes guerres. 3 ans, 3 jours, 3 guerres ? Comme mon Roman "3" dont je ne vais pas tarder à écrire le troisième ouvrage. N'oublions pas que la règle du 3, c'est seulement la règle de la trinité. Et nous permet de naviguer à vue sur les symboles.

Alors l'avenir ?

Nous avons encore quelques trucs à vivre avant de parvenir sur les rives de la nouvelle Terre que les disciples ont tant espéré. Mais les récifs les plus dangereux sont généralement situés à côté des premières plages. Tout à espérer donc, de cette période charnière qui va durer 2 ans selon certains,  mais jusqu'à une dizaine d'année pour d'autres (je fais partie des plus otpimistes).

Que nous reste-t-il à vivre ?

Le cheval blanc, c'est fait..... (mais ça n'exclue pas quelques galops futurs).

Restent la guerre, la famine, puis la mort...... La mort n'est pas nécessairement la mort physique, c'est aussi la mort d'une société qui n'a plus rien à donner. Les prophéties parlent de temps merveilleux, où le loup et l'agneau vivront côte à côte. Clairement nous n'y sommes pas. Ni au propre, ni au figuré. Mais ces temps viendront. 

Une fois que notre société aura terminé sa métamorphose, beaucoup de points seront totalement modifiés : plus de consumérisme, ni de consumérisme sexuel. Un respect général, une absence complète de délinquance, le goût pour chacun de s'investir dans quelque chose pour tous, l'accès gratuit à toutes sortes de soins et surtout un équilibre préservé bien en amont de la maladie. On ne mangera plus de la même façon, ni les mêmes choses. Tout ce qui sera consommé sera respectueux de la planète et de la vie. L'amour sera le mâitre mot de tous nos choix : voilà ce que je perçois à terme !

Et avant que nous y soyons, beaucoup d'entre nous serons partis, certains de vieillesse, d'autres par la guerre ou la maladie. Ils renviendront si nécessaire et/ou parce qu'ils le souhaiteront.

Chacun aura sa place, personne ne sera réduit à rien par quiconque. L'artiste fera de l'art, le musicien de la musique, le cuisinier de la cuisine et le rangeur du rangement : mais chaque acte aura une valeur similaire. Le dirigeant qui dirige n'aura pas plus de poids que le musicien. Et il rendra des comptes. Le médecin sera tout amour, le bâtisseur bâtira avec tant de joie que vos maisons seront magnifiques, le jardinier concevra des jardins de rêves, habités par des animaux libres.

Et non : tout cela n'est pas un beau rêve utopique. C'est ce que me disent les guides qui veulent nous donner du courage : nous pouvons y parvenir sur notre seule génération.

L'individualisme aura disparu. Pendant un temps l'homme et le loup ne se fréquenteront plus sur les mêmes terres. Puis un jour viendra, où ils seront définitivement en paix.

Voilà mes amis, en synthèse de ce grand voyage que nous tous avons sans doute vécu ensemble. Parce que les terriens forment une famille.

Je vous embrasse.

Elizabeth