Donald Trump;élections USA; troisième guerre mondiale
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Donald Trump : Voyance et Analyse
- Le 17/02/2024
- Dans Voyance
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Ce cher Donald ......
1. Biographie
https://fr.wikipedia.org/wiki/Donald_Trump
Agé de 78 ans en 2024, il ne sera néanmoins pas à la peine face à Joe Biden, qui, en voyance, ne se représentera sans doute pas ou de toute façon, ne fera que faire-valoir pour un(e) autre candidat.Elu Président en 2016 après une campagne controversé, il peine à partir et est rendu responsable de l'assaut du capitole. Aujourd'hui, la justice à l'Américaine qui s'acharne, semble plutôt être le fruit d'une anti-campagne que d'une réalité juridique.
Sa briographie est particulièrement détaillée, mais je vous invite à la parcourir dans ses grandes lignes. Perso, je vous fais une synthèse de mes sources variées, mais toutes plutôt sérieuses vu que les thèmes sont très basiques
J'ai également potassé le livre "Fire and Fury" (le Feu et la Fureur à la Maison Blanche), certes écrit par un "Anti", mais plutôt factuel et sourcé.
Globalement et en résumé :
Né avec une petite cuillère en argent dans la bouche, second fils derrière un aîné qui mourra prématurément d'alcoolisme, il prend tôt le poste d'héritier familial au sein d'une famille plutôt traditionaliste, d'origine Allemande et Ecossaise (2 cultures déjà plutôt respectueuse des traditions).
C'est un adolescent difficile qui finit en école militaire pour tenter de cadrer le loustic :
Bien qu'aimant à laisser filer cette jolie photo, le loulou s'arrange toute de même pour ne pas participer à la guerre du Vietnam (4 reports successifs d'incorporation), mais peut-on en vouloir à une famille ? Non je ne pense pas.
Ses parents sont dans la filière immobilière et il entre naturellement dans l'entreprise familiale avant d'emprunter à son père son premier million et de le faire fructifier avec succès. Puis il enchainera les succès, autant que les faillites, et prend définitivement l'image d'un chef d'entreprise controversé, atypique, voire un peu fou. Il a beaucoup de gout pour l'image et les apparences et développe téléréalité et concours de mannequins, non sans succès.
Côté richesse personnelle, il est réellement riche, mais a visiblement une tendance à l'étalage et parle de 9 milliards de fortune personnelle, lorsqu'elle est réellement évaluée 4 milliards (à la louche). Après héritage familial.
C'est un touche à tout qui ose sans compter et se plante encore assez souvent, mais retombe sur ses pattes, tel un chat de gouttière plutôt doué. (Golf, Avion, Université etc.....)
Côté Politique, il s'engage d'abord chez les Démocrates, avant de filer chez les Républicains (et d'y rester), carrière en pointillés et succès mitigés du personnage qui pense se présenter aux Présidentielles à plusieurs reprises. C'est durant la carrière présidentielle d'Obama qu'il se fait remarquer avec le déeloppement de la théorie dite du complot (6 mois d'écart :) ) sur la non nationalité de Barack Obama. Il finira par revenir sur ses déclarations.
Il participe souvent et sans le vouloir aux vidéos des Simpsons et intègre la tradition pseudo prophétique de la célèbre BD avec cette image, ressemblant, à quelques détails prêts, à une image de campagne :
Quand on y regarde de plus prêt, il y est très présent, voire caricaturé, et il est tout de même possible qu'il y ait eu une coïncidence (j'ai trouvé une cinquantaine d'image, dont l'une de lui dans un cercueil).
Sa Présidence est haute en couleurs : tweets innombrables et caricaturaux, décisions semblant un peu folles et imposées à l'arrache, Il parait fou et génère l'édition du livre Fire and Fury, qui le fait passer pour un fou furieux ingérable et ingéré. Néanmoins il ne semble pas se laisser imposer quoi que ce soit par ses conseillers et c'est une grande première depuis un certain temps : pas de nouvelle guerre, des relations apaisées avec la Russie, et une tentative d'instaurer de bonnes relations entre Israël et les états Arabes. Il tente de construire un plan de paix entre la Palestine et Israël.
Il travaille beaucoup avec sa fille et son gendre Jared Kushner, de confession Juive. Celui-ci prendra sa défense sur toutes les accusations d'antisémitisme à l'encontre de son beau-père.
Il finira sa Présidence tristement, suite à des élections que tout le monde pense (et c'est sans doute le cas) truquées. L'assaut du Capitole mit l'Amérique au seuil d'une véritable guerre civile, mais contrairement aux rumeurs élaborées par Qanon, il ne revint pas et dut accepter sa défaite, si injuste qu'elle soit. Depuis, il fait l'objet de fréquentes accusations, perquisitions et autres attaques dont il est possible de supposer qu'elles visent à le rendre inéligible.
Il va se représenter pour les élections de 2024 - envers et contre tous - ce qui en fait une personne que l'on peut aimer ou détester, mais d'un incroyable culot pour ses 78 ans. Il est, semble-t-il, néanmoins moins déconfit que Joe Biden, dont la sénilité n'est plus un mystère, ni une voyance.
Concernant sa spiritualité, Donald Trump est proche de l’église du pasteur Norman Vincent Peale qui prône la réussite matérielle autant que spirituelle (Source La-croix.com). Le président élu a été baptisé et confirmé dans la First Presbyterian Church, l’église presbytérienne du quartier de Jamaica à Queens (New York) où il a grandi. Dans les années 1960, ses parents ont rejoint la Marble Collegiate Church, sur la Cinquième avenue à Manhattan, attirés par la personnalité de son pasteur, Norman Vincent Peale. Cette église appartient à une autre dénomination protestante, la Reformed Church in America, fondée en 1628. Donald Trump l’a fréquentée pendant près de cinquante ans et s’y est marié religieusement avec sa première et sa seconde femme.
A noter, la personnalité particulière de Norman Vincent Peale qui est plutôt hostile au catholicisme, supporter de Richard Nixon et n'hésitant pas à supporter toutes les initiatives border line pour développer le Business. Le journal La Croix n'hésite pas à parler de "théologie du succès". (le Pasteur est décédé en 1993)
2. Voyance et Connection sur D.T.
Il est très facile de se connecter à D.T., c'est un homme qui ne cherche pas à faire mystère de ce qu'il est, ni de sa vie sauf secrets. En cela, il diffère et de beaucoup d'autres dirigeants. Non énigmatique donc.
Je perçois un bel enfant, adoré par sa mère qui est plutôt une femme austère, pétrie de devoirs et de tradition, mais aimante et respectueuse de son mari, quoique pas très heureuse. Sa mère, toujours, semble, vis à vis de la spiritualité, être à la limite de la superstition, sans pour autant parler de bigoterie - non ! Je définirai ça plutôt comme une sorte de peur de la punition, de la crainte.
La maman de Donald Trump, en 1935, très belle femme, avec une forte capacité à s'adapter, beaucoup de souffrances palpables
Son père, ultra autoritaire, je ressens un homme froid, qui ne semble sourire que pour signer des affaires. Il n'est pas attaché plus que ça à ses enfants et leur témoigne très peu d'affection. Un enfant, c'est une sorte d'héritier. Point à la ligne. On va dire que la dimension du coeur, chez cet homme, n'est pas la plus belle de ses caractéristiques. Le père - toujours - est travailleur, s'isole autant que possible dans son bureau, consacrant un repas par jour maxi à sa famille. C'est une bête de travaille à l'Américaine : Le rêve Américain dans toute sa puissance. Il rêve de réussite, mais aussi de reconnaissance, lui qui ne vient pas de grand chose. (Après vérification, effectivement, il a commencé sa vie pro comme porteur de bois à cheval, ou guide de cheval qui porte ou tire du bois)
La connection à cet homme, tel qu'il a été durant sa vie, m'est difficile à supporter. Un homme d'une dureté exceptionnelle
L'enfant D.T. ne reçoit donc, pour premier héritage, que l'absolue nécessité de réussir à haut niveau pour être quelqu'un aux yeux de son père. Je sens, malgré tout, un enfant joyeux et extraverti, qui n'hésite pas à faire pas mal de bêtises, y compris à l'école, frisant le renvoi, coutant assez cher à son père pour rattraper les conneries. Sa mère est néanmoins touchée par son turbulent fiston et il y a, entre eux, une sorte d'amour qui dépasse les frontières de la vie et de la mort. Je perçois, chez sa mère, le souvenir et la souffrance liés à la perte des siens.
L'adolescent D.T. est insupportable, provocateur, pas plus doué que ça et peu motivé par les études. Il y a, entre son père et lui, une absence d'amour face à un besoin d'être enfin vu et reconnu. Il transportera ce besoin tout au long de sa vie, n'hésitant sans doute pas à friser le non respect des règles pour y parvenir. C'est néanmoins un garçon plutôt gentil, une sorte de faux dur. Je ne ressens pas non plus de grande intelligence, quoique malin. Il est, dès son adolescence, capable de jouer la comédie avec beaucoup de talent, en mesure de faire croire pas mal de choses à son entourage, perturbant ses enseignants et sa famille, souvent dépités de ne pas savoir tirer les choses au clair avec lui.
Je perçois le jeune adulte en école militaire. L'objectif paternel était de le briser. Ce fut très partiellement le cas, on va dire qu'il s'est plié parce que nécessaire. Mais l'essentiel de sa personnalité reste intacte. Un jeune homme séduisant, hableur, grand séducteur aussi et qui commence à développer la culture du plaisir et du loisir, ainsi qu'à imaginer sa vie comme un potentiel parcours entre célébrité bling bling et contrats juteux. Il développe donc, comme sa mère, une capacité d'adaptation, voire de retournement de veste si nécessaire. Ce qui sera perçu parfois, par ses proches, comme une forme d'instabilité. Alors que dans les faits, ce n'est qu'un masque de plus. A 20 ans, c'est un jouisseur de la vie, adaptable, pliable à souhait, malin et en mesure de truander, tout en jurant l'inverse.
Son grand-frère, Fred Trump, se révélant totalement incapable de succéder à son père, c'est lui qui hérite de la succession et est prié de venir travailler dans l'entreprise du père. Croire que pour autant les 2 hommes sont soudés, c'est, en connection, l'équivalent du père Noël. Le père a toute autorité sur le fils et cette étape de sa vie est un apprentissage difficile, voire insupportable, mais qu'il est assez malin pour accepter, à toutes fins, lui aussi, de gagner ses propres lauriers.
Même lorsqu'il devient le président de l'entreprise Trump, il est soumis à la volonté du père. Ce que je perçois, dans l'ombre des 2 hommes, c'est tout de même une incroyable capacité à acheter les opinions et à s'arranger des règles qui les embêtent. Un point commun qui, pratiquement, arrive à concilier leur double force de travail. Pendant cette période, D.T. développe une ambition démesurée : il songe que rien n'est interdit et rêve d'un monde qui lui appartiendrait.
"Si tu le veux, tu peux l'avoir", serait en quelque sorte la phrase clef des Trump
Un amour de la réussite qui se rêve de tous les succès : beauté, exploits sportifs, puis réussite politique, car tôt ou tard, il songe que c'est par la politique que le monde se fait ou se défait.
Il rêve également de dépasser le père, et de revenir aux sources à toutes fins de prouver que sa famille est celle de la victoire de la volonté et du travail, sur la condition sociale.
On se marie chez les Trump et il ne dévie pas de la tradition. Mais il déçoit, pour moi, rapidement sa première femme, qu'il trompe plus souvent qu'à son tour. Je vois une femme qui ne le supporte plus, même en peinture, exaspérée et haineuse pour finir. Je perçois un homme en quête de beauté physique, quasi exclusivement et confondant l'amour avec la reconnaissance et l'attirance. Une belle femme qui le flatte a toutes les chances de s'attirer sa sympathie. Mais qu'il en rencontre une 50 mètres plus loin et la première passe aux oubliettes. Néanmoins, respectueux de la tradition, il se marie, fait des enfants, et potentiellement divorce quand c'est cuit.
Il ne laisse pas les femmes indifférentes : amoureuse, attirées, séduites, ou haineuses, en colère, détestantes ..... Considéré comme une catastrophe ou une bénédiction, il ne laisse personne indifférent dans le sexe faible (du moins chez celles qui ontpeu de discernement). Quant aux hommes, ils le perçoivent avec un mélange de craintes, de mépris, ou d'intérêt. Il a, selon ce que je ressens, peu d'amis, voire pas d'amis sincères. Sa famille (femme et enfants) est donc son unique richesse humaine. Son fan club politique vient à point pour combler cet immense vide intérieur.
Je perçois pourtant des qualités non négligeables : il n'est pas agressif, n'a pas le besoin d'écraser l'autre, comme son père pouvait l'avoir, ne souhaite pas détruire ses ennemis et serait plutôt fan d'un succès en négociations. Pour lui, négocier avec Vladimir Poutine, serait la cerise sur le gros gateau de ses succès personnels. Il n'a donc pas besoin de gagner une guerre et préfère, de loin, faire ce qu'il faut pour s'obliger ses adversaires. Pour autant, il est capable de coups foireux, mais il me semble qu'en vieilllissant, cette tendance s'estompe.
Quant aux femmes intelligentes, elles s'en méfient et le pensent versatile, instable, peu fiable. Elles n'ont pas toujours tort, car entre ce qu'il dit et ce qu'il fait, il peut y avoir quelques modifications. Ajoutez à cela un certain talent de mise en scène, voire de dramaturgie et l'homme se fait vite passer pour ingérable.
Ses opinions : profondément traditionnaliste sur certains points, il ne déviera sans doute plus de sa ligne droite nationaliste et populiste. Mais si il aime les USA et le peuple en général, il n'a que peu de considération pour la faiblesse et pourrait bien se désintéresser complètement des malades, handicapés, ou personnes en difficultés personnelles, ou sociales. Brefs : malades et autres chômeurs, soyez certains qu'il ne va pas s'occuper d'autre chose que de vous mettre au boulot .... y compris pour payer vos soins.
Il serait (en ressenti) peu corruptible. Mais capable de la jouer fine et à l'envers. Il ne respecte que son égal.
Pour cette raison, il respecte Vladimir Poutine, dont il se considère comme l'égal. (l'inverse n'est sans doute pas vrai)
Il se veut très honnête, mais je dirais, pour simplifier, qu'il a sa propre définition. Certes il va toujours finir par payer ses factures, si, toutefois, il ne trouve rien à redire sur le produit. C'est donc quelqu'un avec qui je n'aimerais pas faire des affaires. En revanche, il croit volontiers les gens qui portent de beaux projets, et a du se faire avoir sur un certain nombre d'affaires qu'il a crues magnifiscentes, alors que bon .... c'était juste du clinquant en apparences.
Il conçoit les States comme un peuple travailleur, courageux et prêt à recrééer une nation prospère. Toute autre vision ne l'intéresse pas. Il a une seule bonne solution à proposer : remettre tout le monde au taf, supprimer la drogue, les immigrés et les bidonvilles crasseux. Il n'est donc pas le candidat des laboratoires. Ni de Soros.
Sa candidature : Il ne doute pas un instant de sa capacité à gagner les prochaînes élections et a une vision plutôt optimiste des risques autour de son existence.
Les futurs résultats électoraux ?
Considéré par beaucoup d'Américains, y compris pauvres, malades et plus ou moins immigrés, comme celui qui porte le mieux le rêve Américain. Même si ses propositions de soutien aux indigents ne sont pas sa priorité. Mais sa tonicité, sa verve, séduisent, et ses propositions de paix, notamment avec la Russie, gagnent de plus en plus de public.
C'est donc avec une grande certitude qu'il commence à galoper vers le pouvoir. Je le sens en pleine possession de ses moyens, soutenu comme un sportif de haut niveau, et prêt à en découdre avec l'adversité.
Mais ce que je sens aussi, c'est un ennemi implacable qui est dans une volonté de destruction ..... Les gardiens de l'ombre ne veulent pas de Donald Trump. Et il me semblerait incroyable qu'il réussisse à s'élever au pouvoir. Pour moi, il est en danger. Ses positions remettent en cause le chaos organisé et mondial, ainsi que la progression du Nouvel Ordre Mondial. Il n'est, pour moi, pas en mesure de lutter seul contre le monde entier.
Après quoi, une bonne surprise est toujours possible ..... Mais si il finissait dans un cercueil, je ne serais pas étonnée, ou encore atteint d'un cancer surprise !
En conclusion
Il aura contribué, avec son caractère truculent, ses tweets burlesques, et ses réparties javelisées durant le covid, à éveiller ou réveiller sans doute pas mal de moutons. Je sens qu'il a fait son job, tel qu'il se l'était plus ou moins fixé avant de s'incarner. Reste que pour moi (et je peux me tromper) ce Job est presque fini.
Ses enfants ne reprendront pas le flambeau et sa succession sera sans doute discrète. Sa fille et son gendre (Jared) fileront droit et deviendront des affairistes moins visibles. Ils évoluent et ont sans doute déjà été repris par les puissances sombres qui n'auront pas eu de mal à leur vendre leur propre succès, mais sur une voie plus simple.
D.T. est peu corruptible pour la fin de sa vie. Ce qui signera sans doute la fin de la partie. Prions pour que non, car ça ne servira pas les intérêts de l'humanité, bien que le personnage soit contestable.
Son mariage actuel est, de ce que je perçois, plus que cuit, et sa femme filera se réfugier dans une tour d'ivoire discrète et dorée. Avec son fils, qui pour moi, a de vrais soucis (je ne peux pas me connecter, je sens une sorte de brume ....)
Voilà, chers tous, de quoi réfléchir sur l'avenir de notre humanité :)
Je vous embrasse
Elizabeth