Fin des temps;préparation;survivalisme;Foi;Tri entre le bon grain et l'ivraie

  • Faut-il laisser tomber la survie ?

    Chers Amis,

    Vous savez à quel point la résilience est un principe qui m'est cher !

    Et de la résilience au survivalisme, il n'y a qu'un pas; mais faut-il le franchir ?

     

    Avant-hier un vieil ami me téléphone. Expérimenté, reconnu dans le secteur de la survie, mon âge (c'est à dire, comment dire ? Plus trop jeune), je vous la fais en résumé :

    • Je me casse (quelque part dans le monde)
    • Non ?
    • Si ! Je vais me prendre du bon temps, du temps pour moi, pour me faire plaisir, j'en ai mare des stocks, des mauvaises nouvelles, et de l'attente interminable d'évènements prophétiques qui ne viennent pas.
    • Comme je te comprends. Moi aussi, j'en ai parfois ras le bol. Il ne se passe rien et ils déroulent leur plan d'action sans qu'il ne se passe rien.
    • Oui, c'est exactement ça, on se prépare aux 3 jours depuis Padre Pio, 70 ans qu'on a les bougies et le matos ....
    • Pas faux.

    Il y a quelques mois, une amie, Anna,  spécialiste de la sécurité, tireuse sportive pointue et entrainée à tous points de vue m'appelle.

    • Mon homme s'est barré.
    • Comment ça ?
    • Il s'est barré, je suis démolie.
    • Et sans indiscrétion ? La raison ?
    • Il a envie de Vivre, le pire, c'est qu'il est parti là où ça craint le plus, en centre ville. Il voulait des vacances, du bon temps .....

    Hier, au téléphone (elle se reconnaîtra). Petit coup de fil amical entre nous.

    • Non mais t'as vu les nouvelles, suis abonnée de partout, hier 150 alertes à lire, c'est une catastrophe, c'est ignoble ce qui se passe, et aussi ce qui se prépare, ça me stresse.
    • Oui, les news sont carrément pas chouettes et si on ne regarde que ça, on se rend malheureux.
    • Heureusement, j'ai mes bons moments, avec les amis toussa tousssa, mais les mauvaises nouvelles, ça pèse sur le moral.
    • Oui, faut réussir à vivre et avoir des projets malgré tout.

    Dans les faits, ces 3 témoignages sont raccourcis, et anonymysés, mais exacts. Et j'en ai quelques uns à votre disposition.

    Nous sommes tous très inquiets en regardant l'actualité avec un peu de sens de l'analyse. Les risques sont clairs et tout semble ressembler aux prophéties. Mais dans les faits, nous aurions pu dire presque la même chose en 14/18, ou 39/45, ou pendant la grippe espagnole, ou la crise des Missiles de Cuba, ou encore la guerre de Corée, etc...... Encore aujourd'hui, en relisant l'article de Charles Sannat (Editorial du jour), je me dis qu'effectivement, les temps ont l'air diaboliques, notre P.R. a l'air sadique et les pauvres sont de plus en plus pauvres, tandis que la corruption ronge le monde. Mais cela a-t-il été différent un jour ? N'en sommes-nous pas seulement plus conscients car, grâce à l'internet, toute l'information nous est offerte, chargée de ses excès ? Et de cette maxime fameuse : ce sera répété, amplifié, déformé ......

    Bien entendu, en tant que voyante, je perçois, vois, ressens un tas de trucs et notamment l'ensemble des risques. Comme bien d'autres avant moi. Et pas mal de trucs vont encore venir,.mais faut-il, pour autant, s'abstenir de Vivre pleinement en passant l'ensemble de son temps, de son énergie, de son budget, à prévoir une fin des temps qui se fait attendre depuis l'Apocalypse de Saint Jean au moins ...

     

    Oui, il se passe des choses étonnantes : invasion d'ovnis filmés aux states (faut dire qu'avant on n'avait pas les mêmes moyens), bombes nucléaires prêtes au départ dans pas mal de pays et Israël qui tape sur tous ses voisins pour faire la chasse au terrorisme, le tout en attendant le Messie ! Encore ces fichues prophéties.

    Dans les faits, à cheval comme en voiture, le véhicule a tendance à aller dans la direction où se tourne le regard. Ce qui veut dire en clair que lorsque nous orientons toute notre existence à la survie, notre existence n'est plus la même. Nous basculons de la résilience à autre chose. Alors non, le principe de résilience n'est pas à remettre en cause. Il est bon de savoir se débrouiller, et de penser solution à chaque problème. Il est utra positif de développer un tout petit peu d'autonomie dans un monde qui tangue, et la seconde guerre mondiale nous a appris que lorsqu'il n'y a plus que le marché noir, c'est la misère ..... Le covid nous a rendu, à très juste titre, méfiant, et la vaccination encore plus. Nous devons donc conserver cette indépendance de pensée, de choix, de liberté d'esprit, face à des normies endormis qui tendent le bras gauche, après avoir tendu le bras droit, tout en se faisant sucer le sang et l'argent par des vampires modernes assoiffés d'Or et de sang frais. Mais quid de nos projets, de notre parcours, si toute notre énergie disparaît, non pas absorbée par les gardiens de l'ombre, mais par notre propre conscience qui passe son temps à monter un camp militaire en guise de domicile ?

     

    Et allons-nous pouvoir construire le monde de demain avec un fusil et des barbelés ?

    Alors non, ici sur le blog, nous n'en sommes pas là. Mais notre inquiétude aurait vite fait de nous saper le moral. Tout comme l'excès d'information détruit l'esprit en le noyant sous des détails difformes. Beaucoup de gens, eveillés il y a peu, choisissent de se rendormir, car il est trop astreignant dans le temps, de résister mentalement au système. Un système qui a bien compris comment se moquer de nos tergiversations ! Nous sommes ficelés par nos crédits, nos devoirs administratifs, par les risques de pénalités énormes qui s'imposent lorsque nous sortons du couloir de circulation autorisée. Et ça, "ils" le savent bien. Pourquoi croyez-vous que, malgré prophéties et risques, il n'y a pas la moindre révolte aux injustices en Europe ? Et bien parce que ce n'est juste pas possible matériellement. On nous parle d'un nouveau soulèvement de tracteurs en Novembre. Oui peut-être, parce que les récoltes seront presque toutes faites. Pour autant, ils ne pourront pas s'éloigner longtemps de leurs exploitations. Donc il ne se passera pas grand chose. On va déverser un peu de fumier, brûler de la paille et boucher quelques rues. Fin de l'histoire ....

    Bref ! Bon nombre d'entre nous ont le doute. Car pendant que nous pensons Résistance, la petite vie tranquille de beaucoup continue. Faut-il sombrer dans ce semi sommeil, cette douce hypnose encadrée par Netflix, Youtube et le journal de 20h ? Certainement pas. Mais comment trouver un équilibre de juste résilience, et d'indépendance d'esprit ?

    Avant-hier discussion avec Aton, nous faisons les mêmes constats. Ca roupille sec dans les rangs. L'endormissement est quasi complet. Mais entre Roupiller et passer sa journée à affûter les couteaux, il doit y avoir une juste mesure permettant de Vivre et non pas Survivre. A défaut de quoi, comme Anna, et d'autres, nous allons finir par nous fatiguer, et tout aussi grave, fatiguer notre entourage.

    • Alors comment rester Résilient, Résistant, sans s'enterrer dans un bunker avant tout psychique ?
    • Comment profiter de la vie sans se faire dévorer par les chiens fous qui dirigent le monde ?
    • Comment être justement informé sans devenir dingue à écouter des trucs sinistres ?
    • Comment lire les prophéties sans les suivre à la lettre (d'autant plus qu'elles sont joyeusement désordonnées et pas toujours identiques).
    • Ou comment écouter sa Voyante sans perdre son libre arbitre et tomber dans la prophétie auto-réalisée ?

     

    Des questions fondamentales à la réponde subtile, nichée au fond de chacun.

    Elles constituent sans doute plus qu'une question, un objectif, une direction souple à manipuler en accord avec soi-même.

    Car sommes-nous d'accord sur tout ? Pour discuter avec beaucoup d'entre vous, non ce n'est pas le cas. Pour certains, par exemple, seule la vaccination covid est douteuse. D'autres sont anti-vaccins depuis toujours. Pour certains, le combat contre les ondes se limite à boucler la boxe le soir. Pour d'autres à monter une cage de Faraday. Pour certains à manger bio de façon autonome, tandis que d'autres s'accordent un Mac'Do régulièrement. Pourtant ils partagent tous les mêmes valeurs. Certains sont autonomes à 200%, d'autres à 5%, pourtant entièrement ok sur le fond.

    C'est donc la forme qui fait la différence, le quotidien, le vécu lancinant qui peut nous démolir pierre après pierre, ou, au contraire, faire de nous la meilleure version possible.

    Cet été par exemple, j'ai expérimenté autre chose. Plutôt que de faire mon potager, mes récoltes, etc..... J'ai dû acheter mes légumes surgelés ou en conserve. Pour cause de Vélo. J'ai donc choisi de vivre un projet nomade, de très grande liberté, mais avec un lâcher-prise complet au niveau de l'autonomie 2024. Ce fut un grand bonheur. Chargé de plein d'expérimentations heureuses. Regret ? Non aucun. Pire encore, je suis prête à recommencer d'une façon ou d'une autre. Mais ceci est ma propre expérience et non celle de tout un chacun.

    Nous n'avons pas qu'une seule vie, mais dans l'instant T, seule celle-ci nous est accessible. A nous d'en faire bon profit, appuyé sur nos Valeurs dûment choisies. Serait-ce finalement la définition de la Résilience ? Rester Soi dans le tumulte ?

    Alors bien entendu, pour rester Soi, il faut pouvoir manger à sa faim, boire, éviter la douleur et avoir de la compagnie.

    C'est là toute la difficulté. Vivre plutôt que Survivre, Rester soi-même en toutes circonstances, mais disposer d'un plan B qui nous le permet. Pour symboliser ce raisonnement, je vous livre 2 images, tout aussi fausses l'une que l'autre, mais qui sont peut-être le premier et le dernier barreau d'une échelle de Valeurs de la survie/résilience.

     

    Image extraite du film 2012 (non mais sans blague, qui peut faire ça ?)

     

    La permaculture selon la pub : même question, non mais sans blague qui peut faire ça ?

     

    Je n'ai pas de réponse toute faite qui puisse correspondre à tout un chacun. Mais chacun peut imaginer un bout de sa solution, et le partager afin de faire grandir nos idées. Le monde change, il est indispensable de s'adapter, sans renoncer à ce qui nous est cher.

    Gros bisous

    Elizabeth

     

  • FIn des temps : comment faut-il se préparer ?

    Fin de notre monde : Comment faut-il se préparer ?

     

    Le message précédent parlait d’une nécessité de se préparer, voici la suite.

    Chère enfant, il y a les survivalistes qui pensent à leurs fusils et leurs réserves, il y a la majorité, qui ne pense pas ….. Votre place devrait être entre les 2 afin de vous préparer sans excès sur tous les plans mais surtout sur le plan spirituel qui fera toute la différence. Car nul ne pourra survivre aux temps qui viennent si il n’a pas l’accord des cieux pour le soutenir. Nous vous avons déjà parlé de tri et peut-être est-ce le moment de vous en souvenir, chacun est à sa juste place et la vôtre est sans doute de vivre, mais sous condition de demeurer dans le divin et non de vous égare dans les chemins de traverse qui consistent à compter ses ennemis et ses munitions.

    Voilà qui est dit et nous pourrions arrêter le message à cet endroit.

    Les messages abondent qui parlent de refuge, d’enlèvement et de secours divins, angéliques, extra-terrestres et autres : nous n’en pensons rien de plus que du reste, vous vivrez si votre place est dans le nouveau monde car votre compassion nourrira la planète au lieu de la détruire. Il y aura des refuges et des secours et avant de compter sur eux, soyez vous-même un refuge de gentillesse et de compassion pour vos proches et même pour vos moins proches.

    Non personne ne pourra sauver la planète ou même une ville ou un village, mais avec un peu de préparation vous serez non seulement plus serein, mais au cœur même des réseaux qui partageront et sauveront sans doute bien des gens de l’horreur et de la frayeur.

    Sauver les gens de la frayeur : celle de la peur brute autant que celle de la peur de la famine, sera une nécessité absolue. Il ne servira à rien de craindre et votre force mentale, votre foi seront le meilleur support de survie. C’est votre premier objectif, grâce à votre calme, même apparent car votre cœur tremblera, vous pourrez aider et aider encore.

    Sauver les gens de l’horreur, oui cela est partiellement possible en ayant prévu qu’un certain nombre de choses risquent de manquer, sur des périodes plus ou moins longues, ni des années, peut-être quelques mois pour certaines denrées ou médicaments. Ce sera avant tout un autre mode de vie et même si certains périssent, ils renaîtront à la vie là où leur place sera. La solution du combat en corps à corps ou du combat avec armes à feu n’est pas une solution crédible : vous auriez rapidement le système contre vous et l’univers n’appuiera pas ce type de solutions à moins que vous ne soyez contraints de vous défendre. Mais pensez d’abord à partager. Le ciel reproduira ce qui vous manque en temps voulu et quand bien même ce ne serait pas le cas, c’est aussi que votre place n’est plus là.

    Si chaque famille possédait un peu de calme, beaucoup de paix et 15 jours de réserves, nous pourrions presque dire que le monde est sauf, même si certains endroits ne seront pas épargnés. D’ailleurs si c’était le cas les gouvernements n’auraient aucune chance de vous manipuler encore et encore pour vous amener de gré ou de force dans un combat qui ne vous appartient pas.

    L’organisation d’une forme de résistance de partage, d’entraide, de secours, sera d’une grande utilité, quiconque entrera dans ce mouvement bénéficiera d’une grande aide naturelle et tout se mettra en place pour préserver ces systèmes parallèles qui, eux aussi, permettront à chacun de savoir où il en est spirituellement : prêt au partage et au secours ou dévoré par la peur et l’avidité ?

    Oui ce texte parait catastrophiste, mais dites-nous en quoi réellement ? A la sortie de la seconde guerre mondiale toutes les familles possédaient quelques semaines de réserves voire quelques mois pour certaines denrées et cela n’a pas mené le monde à la ruine. Les gens étaient disposés à s’investir et reconstruire. Aujourd’hui ils ont oublié et l’oubli a été largement démultiplié par le système qui veut vous faire croire qu’une guerre peut aider, aider à se souvenir et aider à reconstruire. Ne sauriez-vous reconstruire sans cela ?

    Car vu d’en haut votre monde est déjà dans la destruction et l’essentiel est fait. Alors il est temps, non pas de se préparer à une sorte d’ultime combat, mais de construire à la fois votre mental, votre foi et votre corps pour offrir à la terre des enfants en bonne santé qui assumeront des lendemains plus heureux.