Immobilier - 10 ans à venir

  • Le 26/09/2023
  • Dans Voyance
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Chers Tous,

L'actualité est chamboulante ! Les choses vont si vite, elles se précipitent. Tout comme le soleil qui risque de ne pas épargner notre électronique un de ces 4 matins.

L'immobilier a valeur de refuge dans les pays Occidentaux, où il est aussi très largement identitaire. Il fait rêver les jeunes couples, fatigue les vieux qui entretiennent, exacerbent les problèmes de succession, aggravent les divorces - et accessoirement il nous sert d'habitat. Parce que nous avons longtemps eu beaucoup, pour beaucoup d'Occidentaux, l'immobilier n'est plus, de loin, une simple grotte moderne, mais un petit prodige culturel qui unit dans son lit tous les fantasmes, depuis celui de la couette douillette, jusqu'à la piscine enterrée de 6*12, ou encore le grand garage qui abrite LES voitures familiales.

 

Plus basiquement, nous l'aimons, nous y réfugions, le décorons à notre façon, le meublons avec amour et y faisons beaucoup le ménage. Nous devons également payer pour les emprunts, les réparations, les taxes, l'entretien. A savoir aussi : la lutte contre les effractions et autres cambriolages.

 

Dans les films ou les  séries du petit écran, les propriétés lumineuses défilent comme les vedettes de la haute couture, évoquant bien cette envie que nous avons, d'avoir pour nous et nous seuls, un bel endroit où nous aurions recréé une bulle de sérénité et d'harmonie. Pendant qu'à l'autre bout du monde, une petite hutte de toile ou de paillis, ou encore de terre séchée, abrite un hamac, 3 poules et quelques casseroles à côté d'un bidon d'eau.

 

Pourtant, le plus heureux des 2 n'est certainement pas toujours celui qu'on imagine.

Enfin, trève de philosophie de bistrot : retour à la réalité, L'immobilier est en train de faire faillite - pour longtemps - si ce que je perçois est exact. Et pas uniquement pour une question de taux bancaires. Comment cela va-t-il se passer ? Et cela va-t-il avoir des effets sur notre bonheur ?

Les Taux

Ils ne baisseront pas, mais là n'est pas le plus gros souci. Les taux, c'est la pointe émergée du problème. A savoir que nous ramons sur un océan de fausse monnaie et qu'être propriétaire d'un bien acheté sur 25 ans avec un taux de plus de 5% en échange d'un gros tas de fausse monnaie - c'est une illusion. Il est possible que les banques, en refusant de plus en plus de crédits (ce qu'elles vont faire), rendent service à un paquet d'accédants qui risquent de se briser le dos en escaladant une montagne de dettes.

En clair, je ne les vois pas redescendre de si tôt. Ce que je perçois, c'est plus une sorte de grosse faillite du système, mettant fin à la politique des crédits actuels. Je perçois des achats pour un temps, on ne serait propriétaire que pour un temps, après quoi il faudrait le restituer, ou renouveler son bail.

Ce passage, d'un fonctionnement à un autre, se fera doucement, à la fois par obligation (manque de moyens) et parce que finalement ce n'est pas si mal (opinion qui aura été optimisée par campagne de communication à venir rapidement)

Le parc immobilier actuel

De nombreux bien seront revendus. Ce parc ne sera, pour part, mais pour part de plus en plus importante, pas renouvelé de la même façon. Dans les années à venir, beaucoup de biens changeront de mains. Il risque même d'y avoir des abandons purs et durs. Plusieurs raisons à cela :

1°) Le durcissement des conditions de maintien, il faudra payer - de plus en plus - pour tout et rien, eau, chauffage, entretien, conformité etc....

2°) Le durcissement - la hausse de la fiscalité en fait - des successions

3°) Une campagne de communication menée tambour battant pour des petites villes confortables, où la vie serait propre, bon marché et sereine .....

4°) Une délinquance très importante qui fera se tourner les éventuels proprios vers des zones sécurisées

5°) La fin d'une culture Occidentale du bel habitat - on ira vite (5 ans ??) vers l'habitat pratique, facile d'entretien, peu couteux, et donc plus petit.

Les difficultés sociétales à venir (2024/2025)

Guerre, Privations et difficultés autrement plus importantes qu'un (simple) souci d'emprunt, feront que les gens vont un peu se détourner de ce faux moyen de sécurité pérenne. Il va s'avérer que le toit sur la tête, si cher à nos parents et grands parents, sera un peu oublié ..... Trop d'emmerdes par rapport à un bénéfice discutable. Enfin, c'est ce qu'on en dira. Un toit oui, mais plus à la Chinoise.

La crise du logement qui s'en vient ne fera pas s'agrandir le parc immobilier. Elle n'est pas d'origine financière, mais législative ou conditionnelle. L'immobilier locatif perd son attrait pour longtemps (je ne vois pas vraiment de retour, sauf sur du locatif d'état ou locatif social). Le logement loué ne remplacera pas non plus le logement acheté et vice-versa.

L'état finira donc par se substituer à la défaillance qu'il a lui-même orchestré, en créant de nouvelles cités sur des zones qui furent industrielles ou sur des zones commerciales qui seront refondues. Le paysage urbain va donc changer après une crise pénible.

Les familles qui ont des enfants en relogeront et crééeront une autre sorte d'habitat collectif semi séparé. L'habitat partagé devrait se développer, permettant à ceux qui ont de l'espace, mais pas de sous, de loger ceux qui ont quelques sous, mais pas assez pour gagner de l'espace à vivre.

Dans un second temps

Beaucoup de gros habitats seront découpés (2025 - 2030 ?) et la culture du gros disparaitra de 95% de la population. Ce sera progressif, mais permettra de trouver un compromis avec l'habitat partagé qui n'aura pas donné pleinement satisfaction. On utilisera donc les surfaces utiles qui seront potentialisées. Les jardins deviendront plus collectifs, puis individuels et très petits.

La maison fermière avec ses poules, sa cuve à eau et son potager deviendra une rareté. Principalement pour des raisons législatives. Mais aussi parce que les gens, qui auront perdu la plupart de leurs repères, iront vers un modèle simple et peu contraignant.

Les Baby Boomers seront très vieux et avec eux disparaitront la dernière génération post seconde guerre mondiale et pour qui la reconstruction fut synonyme d'abondance. La future génération post troisième guerre mondiale aura été terrorisée outre mesure et se laissera conduire vers un destin non pas choisi, mais offert, par un état  coordinateur forcé et un contexte difficile.

En 2035, il est à priori possible que la maison individuel de bonne taille avec son grand jardin ait (quasi) disparu au profit de petites propriétés découpées et de cités de taille raisonnable. Mais tout ceci dépend aussi de nos choix collectifs, autrement dit de nos lignes temporelles. J'en ai perçu plusieurs, à effets différents, quoique quelques points communs, dont une modification substantlielle de la culture du gros habitat.

Nos choix et nos lignes temporelles (2030 - 2035)

Nous avons quelques options. La plus probable (40% ?) est que la population terrestre réduise, et que cette réduction dramatique (rapide) acte la fin totale de notre culture Occidentale. On pourrait alors s'imaginer qu'il va y avoir "de la place" - Mais non en fait, car les populations se regrouperont sur les zones acceptables. : migrations, redécoupage, solutions de secours et modification profonde du paysage au propre et au figuré - mais pas vraiment dans la paix -

Une second possibilité (10/20%), également encore très potentialisée, serait que l'état mondial totalitaire voit le jour et procède au plan d'action que j'ai perçu, mais de façon autoritaire justement. Les 2 lignes temporelles ne pourraient en faire qu'une seule et la population terrestre serait réduite autant que contrainte. La propriété immobilière, celle de nos parents, voire la notre, serait difficile à conserver dès 2027/2030.

Une troisième possibilité (5/10%) serait un chaos autoritaire (dirigé par I.A.) qui permettrait au dit état de mettre en oeuvre des mesures de logement du bétail humain. De logement ou d'éradication. Il s'agit d'un modèle dystopique qui, hélas, n'a pas encore disparu des possibilités, bien que je ressente qu'il soit fort probable qui cède la place à un modèle "raisonnable".

La quatrième possibilité, dont les guides me disent qu'elle est finalement assez probable, serait que nous modifions tout dans le sens du partage équitable en fonction de paramètres nouveaux. Il y aurait alors un bref chaos, suivi d'une reconstruction,  mais avec de profondes modifications culturelles. Néanmoins la population mondiale baisserait.

L'évolution optimisée (dès 2025)

Les guides disent que c'est possible, mais pas fait pour le moment ! La modification de la culture post évènements apocalyptiques, serait bénéfique. Nous garderions le meilleur : Harmonie - Beauté - Sagesse, un peu à l'Orientale (le meilleur de l'Orient), avec une application suffisante sur de petits espaces privés. Un collectif équitable permettrait de faire disparaitre la faim et le manque de soins pour l'ensemble des terriens. Ce serait aussi ça la nouvelle terre. Les espaces privés seraient heureux et les espaces collectifs seraient sereins.

Waooh, j'ai des frissons. Voilà ce qu'ils me font sentir, une telle paix.

La culture religieuse marquée (celle qui est à l'origine d'intolérance) disparaitrait, tout comme la culture dite raciale et ses excès.

Lorsque je demande ce qu'il manque encore, ils répondent que c'est plutôt l'égoïsme qui gêne. Ou le fait de vouloir avoir raison, l'égo.

En tous cas, en conversant avec eux, il semble évident qu'il y aura une brève période autoritaire, à chaotique. De notre façon de nous gérer dépendra la suite des évènements.

Comment rester heureux avec un immobilier qui va aller en se durcissant (en terme de conditions)

De fait c'est possible. L'habitat partagé semble représenter la meilleure solution, le tout étant de trouver des gens avec qui on peut s'entendre. Le mieux étant un partagé avec de l'indépendance de part et d'autres.

Les guides parlent de séparation de la zone de vie, de la zone de loisirs et de la zone de travail (y compris de l'autonomie alimentaire). La zone de vie est privée et 100% privée. La zone de loisirs peut être partagée avec plaisir.

L'autonomie alimentaire devrait être collective et non individuelle, le collectif étant une donnée très variable. Elle disparaitra à terme, lorsque la ligne de temps aura été "choisie" (selon eux, c'est une solution de crise)

La zone de travail hors autonomie sera quasi toujours collective, exception faite du travail à distance qui, durant un temps, sera stoppé (raison non donnée). L'esprit d'équipe se développera au sens noble du terme si nous faisons les bons choix. C'est en tous cas un axe de travail.

A Priori, beaucoup de techniques vont être potentialisées et les futurs habitats remplaceront le volume par un grand confort et un aspect quasi individuel (pas plus d'informations que ça)

En tous cas, ce peuple de demain n'a pas besoin d'une piscine bien à soi et d'une rolls royce pour se sentir heureux et existant !

 

A bientôt et 2 photos d'un autre temps pour mon mariage 

Je vous embrasse

Elizabeth

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La mariée, son papa (87) et ma fille devant, avant de faire descendre mon papa à la mairie :) - Devant c'est ma Katy, 16 ans qu'elle me porte ou me supporte :)

 

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Le marié (le barbu) arrive à la mairie porté par mes adorables cobs irlandais et le reste de la famille derrière

 

 

Krach immobilier;Crise bancaire;faillite bancaire

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