La Santé dans les 24 mois : réformes et maladies
- Le 25/07/2023
- Dans Voyance
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Chers Tous,
Un sujet qui nous est cher ! Nous soigner .......
Un type d'image bien trop utilisé à mon gout pendant la campagne de communication autour du Covid et du Vaccin
La maladie, ou les accidents, peuvent transformer notre vie en enfer. De façon plus générale, l'humain vieillit et nécessite des soins pour se maintenir en état. Il est à obsolescence programmée. Il s'agit donc d'un sujet stratégique. A quoi se préparer ?
Cette voyance/projection portera sur plusieurs points indépendants
1°) Une future pandémie à venir (ou plusieurs)
2°) L'accès aux soins (et aux médicaments)
3°) La légalité dans le domaine des soins
4°) L'avenir de la sécurité sociale à la Française
Et je vais commencer par le dernier point, qui me semble particulièrement important, en terme de modifications substantielles
Sécurité Sociale à la Française
Aujourd'hui, la population active est tombée à moins de 25% en emplois à temps plein. C'est un peu la Kata, car cela signifie que les 25% en question subviennent aux besoins de tout le monde. Les caisses de retraite ont été pillées, et la sécurité sociale a les comptes les plus secrets de la planète. La santé en France, c'est secret défense ..... De là à dire qu'on est en train de la massacrer, il n'y a qu'un pas.
Pourquoi les Français travaillent-ils moins qu'en 1950 ?
- Parce qu'ils ont des soucis de santé
- Parce qu'ils souffrent de démotivation (salaire, conditions de travail, etc...)
- Parce qu'ils ont d'autres moyens de survivre
Si ils n'avaient pas d'autres moyens, il feraient n'importe quoi et c'est à cause de cela que le régime les finance sous couvert de pas mal de trucs.
Notre sécurité sociale fut l'une, voire la meilleure. Elle prenait tout en charge, la veuve et l'orphelin, ainsi que tous les emmerdements quotidiens. Elle était protectrice, bienveillante, linéaire et attribuée à tous. Même la fameuse part mutuelle fut résolue par la CMU. Et on pouvait de prime abord s'en réjouir. N'oublions j'amais que la ruine de la santé vous pourrit la vie, quels que soient vos conditions sociales.
Puis vint le Covid.
Depuis, nos gouvernants sèment le chaos et les choses se passent moyennement : pénuries de médicaments, vaccins obligatoires ou tests pour accès aux soins, hopitaux en détresse financière, manques d'investissements, pénurie de soignants (on se demande pourquoi). Et de la même façon que certains soignants ont renoncé à leur emploi, certains Français renoncent à leur statut de citoyen normé et soigné.
Certains secteurs frisent de déremboursement, notamment celui des dents. Pourtant crucial.
L'avenir est clairement dans la suite du présent.
Je perçois la naissance et le développement d'une catégorie marginale de Fraçais de moins en moins soignés, voir sortis du système, une sorte de cohorte de petits vieux qui souffrent, mais aussi de jeunes qui doivent se "débrouiller". Ce mouvement va s'amplifier. La sécurité sociale ne sera plus aussi généreusement partagée. Et des conditions vont apparaitre et s'installer au fil du temps.
Dans les 24 mois à venir, je ne vois pas de privation de soins sur les atteintes vitales (chirurgie d'urgence, fins de vie, accidents etc....), tout un chacun en urgence vitale pourra recevoir des soins. Mais gare aux dysfonctionnements par contre.
La sécurité sociale sera hautement numérisée. Sans le précieux sésame pas de solution. Ce qui veut dire en claire que l'ors de la solution finale qui consistera à vous proposer un implant, ce sera implant ou privation de vos acquis en matière de sécurité sociale. Il faut se rassurer, 95% de la population dira Oui. Bien avant 24 mois, les solutions numériques seront rapidement développées, et le partage du dossier médical fera du secret médical, un secret de polichinelle. Ce qui aura d'autres conséquences : assurances, emploi, avenir etc.... Comme pour le Linky et bien d'autres choses, on pourra retarder l'échéance jusqu'à l'implant.
L'autre domaine clef concernera les indemnisations des salariés du privé ou des petits patrons de PME (artisanat), ou encore des auto-entrepreneurs. Ces indemnisations seront revues à la baisse dans le temps et les montants. On finira par contraindre le patient à une indemnité qui ne dépassera pas le montant d'un RSA, puis d'un minimum, sorte de salaire universel supérieur au RSA, mais inférieur au seuil de pauvreté. L'indemnisation plein pot sera brève et destinée à la population active à 100% : je veux dire ceux et celles qui travaillent plein pot et ne sont que rarement malades. Les médecins seront contrôlés et perdront peu à peu le droit de faire des arrêts sur la base de leur propre diagnostic. Il y aura une sorte de cote : par exemple, une grippe, c'est 3 jours, une gastro, c'est 48h etc..... Pour une prolongation, il sera nécessaire d'avoir un second diagnosctic et encore....
L'accès à un lit d'hopital sera très réduit.
Les soins des marginaux (entendez toutes les sortes de population dont le chuffre globale est inférieur ou égal à quelques pourcents, souvent moins de 2) seront également cotés et feront l'objet d'un suivi social pointu.
La sécurité sociale organisera et renforcera ses propres contrôles, les interdictions de sortir seront renforcées et tout "abus" (comme par exemple le témoignage d'un malade qui tond son gazon) sera sanctionné.
l'objectif global des gouvernants sera de mettre la France au travail, et aussi de faire un tri : apte, inapte.
La sécurité sociale redéfinira les ALD (Affections Longue Durée) et la notion d'Invalidité. A la baisse. Il sera toujours question de trouver un emploi ou un usage de la personne non valide.
L'objectif à long terme serait d'avoir une lourde majorité de travailleurs entre l'âge de 18 et l'âge de 70 ans. Soit de doubler la population active. Ce qui finira par arriver, mais pour bien d'autres raisons, plutôt positives, et liées au fait que les uns et les autres, sur notre terre en reconstruction, retrouveront le plaisir de s'investir comme ils le pourront individuellement.
Enfin, le statut d'une personne sera évaluée avec des sortes de points. Même si, au départ, ça ne s'appellera pas comme ça. Sorte d'employabillité, ou de solidité ou encore de validité ...... Une sorte de futur permis à point pour vivre, manger, et être soigné, mais sous conditions strictes. Dieu merci, je ne pense pas que cela arrivera. Mais c'est clairement dans les tuyeaux.
L'accès aux soins et aux médicaments (hors aspects légaux vu ci-dessus)
Il ne sera plus jamais le même. On traitera un peu de tout et tout un petit peu !
La France n'est pas prête (dans les 24 mois) de retrouver la moindre autonomie dans l'industrie de production des médicaments. Et le commerce mondial va durablement s'effondrer, le meilleur étant encore à venir de ce côté là. Ce qui. va avoir 2 effets :
Une opération ou un soin à prévoir, devra être prévu de longue date, et sera parfois décalé.
Les pathologies chroniques réclamant de la chimie permanente feront l'objet de production de médicaments bon-marché, avec des effets secondaire parfois record.
Une médecine à 2 vitesse finira par se développer pour ceux qui ont les moyens de faire du tourisme médical, d'autres régions du monde étant nettement moins en déficit que nous (donc hors Europe)
Donc, dans les 24 mois, il deviendra difficile d'acheter du Schein, mais aussi des médocs. Pour le premier c'est non grave. Quoique le Schein risque de perdurer.
La plupart des soins se feront en ambulatoire, on rentre le matin, on ressort l'après midi et on est éventuellement suivi en HAD (Hospitalisation A Domicile). La plupart du temps, ça se passera bien, les anesthésies étant de plus en plus légères et bien tolérées.
Les domaines de spécialisation seront de moins en moins faciles d'accès et les médecins seront rares, completés par des cabines et l'aide de régulateurs non médecins, qui gèrereont la bobologie. Cela engendrera de la souffrance parfois et quelques erreurs, mais pas tant que ça. Le rôle social du médecin va simplement tout à fait disparaitre. Si je vous donne un exemple de soin dans les 24 à 48 mois, voilà ce que ça donnerait :
Je me lève ce matin, prise de vomissements, et avec une diarrhée aigüe. Je file à la télécabine du coin (et je glisse ma carte à puce dans le lecteur), où je suis mise en relation avec un infirmier qui, via les instruments de bord, prend ma tension (10,5) et mon coeur (95), ainsi que ma saturation (94). Un test pourra être effectué via les instruments, pour certaines pathologies virales. L'infirmier pose le diagnostic lui-même après m'avoir demandé si j'ai voyagé en pays tropicaux, ou rencontré des proches ayant voyagé en pays tropicaux, si j'ai des animaux et si je suis la seule de la famille. L'interrogatoire durera 5 minutes, et 3 minutes pour les tests qui sont tous faits à partir du même branchement sur la main et le bras. Après avoir éliminé le risque de maladie tropicale, de parasitose et d'intoxication alimentaire, il/elle établira qu'il s 'agit d'une gastroentérite. Je recevrai 48 heures d'arrêt maladie, y compris ce jour là. Il/Elle me prescrira du smecta, de beaucoup boire, et de jeuner. Puis finira par me dire que si les symptômes perdurent à la fin des 48 heures, je serai reçue par un médecin en chair et en os, mais que j'aurais une part non remboursée de 15 euros, à proposer à ma mutuelle.
Bien entendu, une part débrouillarde des Français gèrera sa bobologie toute seule, avec ses propres méthodes de soins. Quant aux sachets de smecta, le patient en recevra 12 pour 3 jours de soins et faire des stocks sera tout bonnement impossible.
La technologie va beaucoup progresser.
Là aussi, je ne pense pas que tout ira à son terme. Mais la terre en reconstruction verra tout de même une partie de son système médical rationnalisé, faute de moyens.
La légalité dans le domaine des soins
Evoquée en première partie, elle reste un sujet délicat. Le "être en règle" va beaucoup évoluer ..... Et vite.
Le statut, la précieuse carte vitale, sera de plus en plus sécurisée avant d'avoir sa propre application et sécurisation, comme pour une banque. Les médecins auront un lecteur de carte (c'est déjà le cas), mais directement relié à absolument tout le système. En live et en direct et sans filet. Cee qui n'est pas encore le cas aujourd'hui.
Puis on en viendra là aussi à l'implant. Ultime recourt pour garantir votre sécurité (blablabla)
Les crédits sociaux appliqués à la santé ne verront pas le jour, enfin je ne pense vraiment pas. Mais les droits aux soins seront tout de même partiellement conditionnés. A certaines règles, comme les vaccinations par exemple (mais pas que). Il y aura également les examens obligatoires et les soins obligatoires. Par exemple, refuser de prendre des statines pourrait compromettre votre droit à rester en ALD (les statines sont des anti cholestérols avec pas mal d'effets secondaires, les rendant très contestés).
Certains médicaments seront équipés de puces de transmission afin de garantir qu'ils ont été pris.
Certaines puces ou nano technologies permettront de contrôler si vous buvez ou consommez des stupéfiants ou de l'alcool. Ce moyen ne sera utilisé que dans certains cas légaux : permis poids lourds, conduite d'installation, accès professionnels à des domaines stratégiques, militaire etc....
Les véhicules seront également équipés de ces mêmes processus. Donc 1 verre de trop et je me fais conduire ou re conduire. Sur le principe, on applaudit. Mais c'est une question de taux.
Les fonctionnaires jouiront de privilèges certains (enfin, je ne crois pas qu'ils en auront le temps), mais seront soumis à toutes sortes de contraintes de ce type.
Je ne sais pas vous dire quelle est la meilleure situation. Avec ou Sans Filet .....
En tout état de cause, la nouvelle terre que nous connaîtrons fera appel à notre sens des responsabillités : bon usage de la chimie, et implication personnelle dans les processus de soins, et enfin chacun aura à coeur de faire de son mieux, ce qui changera tout pour tous. L'irresponsablité non cognitive (autrement dit celle dont on est responsable) sera mal admise en ces temps futurs, car nous aurons tous envie de voir chacun fournir sa quote part de reconstruction, même si nous gardons un esprit social.
La plupart de ces grandes contraintes légales n'auront, je pense pas le temps de se mettre 100% en place dans les 5 ans (là c'est sur plus de 24 mois). Il suffira, là aussi, de jouer la montre, en anticipant pour toute chose afin de ne pas dépendre des crises passagères (ou moins passagères).
Les futures pandémies
Inévitables : seront potentiellement visées
- Le système neurologique
- L'appareil respiratoire
- l'appareil digestif
- Un mélange des 3 par action virale
- A léthalité variable, souvent faible à mon sens
Toutes ne seront pas vraiment pandémiques : la contamination de l'eau pourra être vaste, mais non mondiale. En revanche beaucoup d'épidémies auront tendance à se répandre. Je ne vois pas de nouvelle peste "Marie-Julie Jahennique ...", autrement dit je ne perçois pas ce qui lui a été donné de voir, ce qui ne veut pas du tout dire ni que j'ai raison, ni qu'elle a tort. juste je ne vois pas ça. Je perçois juste ces différentes attaques, quasi toutes virales. Je pense que beaucoup resteront non qualifiées et susciteront de l'inquiétude sans que cela ne soit justifié à 100%. Une alerte pourra être déclanchée pour telle ou telle piste, sans que grand chose ne se passe. Mais l'ambiance sera à la peur. COmme pour la maladie de la Variole du Singe, hautement médiatisée !
Pour moi, il n'y aura plus de crise de l'ampleur du Covid. Mais il sera souvent accusé en lieu et place des effets dévastateurs des essais thérapeutiques menés à l'insue de notre plein gré.
En revanche, il este évident, pour mon ressenti, que l 'eau fera l'objet d'attentats ou de déviances. C'est là que je recommande la prudence dès les premiers cas. Sachant que les gens se rueront sur les bouteilles (et que ça donnera lieu à des scènes pires que celles du Nutella en promotion). Prévoyez donc, en anticipant le souci, la bonne vieille cuve à eau, ou vos propres réserves. Et encore un filtre ou des pastilles micropur (à ion argent si l'eau est pleine de particules).
Concernant le traitement d'attaque des virus, tout dépend de. mais la médecine alternative regorge de bons plans faciles à anticiper.
Les truc à avoir hors médecine alternative :
On ne peut/doit pas faire l'impasse sur 100% de la médecine allopathique. Même si nous sommes d'accord qu'elle ne constitue pas forcément un usage de première intention.
- Les médicaments anti-douleurs (parfois indispensable pour leur rapidité et leur efficacité)
- Les antibiotiques (sont parfois d'un usage vital)
- Les désinfectants (et de quoi faire des pansements)
Pour le reste, je vous renvois à l'article qui a déjà été fait et à votre travail énorme sur le forum : parmi vous, de vraies pointures qui peuvent ré ouvrir un dossier et répondre à bien des questions, beaucoup de talents dans notre petite communauté de valeurs.
L'euthanasie
Je n'ai pas évoqué ce sujet jusqu'ici et j'étais, de base, plutôt pour une fin de vie dans la dignité. Le scandale du Rivotril dans les EHPAD, m'a largement refroidie.
L'euthanasie va se développer en Europe. La loi sera respectueuse, ses effets parfois moins. Je recommande donc la prudence. Les personnes âgées, les malades graves et les handicapés, serons au coeur des préoccupations de nos gouvernants, mais pas forcément comme on le souhaiterait. Cela touchera également les bébés en gestation à un stade de développement tardif, voire à la naissance. En parallele on développera des méthodes eugéniques soft : diagnostic in utéro et modifications in utéro au stade d'après. Rien de mauvais dans le fait d'éviter un handicap à un enfant, si il s'agit de cela. Et c'est là que le bas blesse.
L'esprit, chez nos gouvernants, est d'éradiquer l'innemployabilité des humains. Sous couvert d'une vie heureuse et responsable, pleinement accomplie dans la communauté (blablabla et reblabla).
Je pense qu'ils manqueront de temps pour mettre au point ces nouvelles formulese nazies, qui n'ont pas quitté leurs préoccupations.
La nouvelle terre tentera de jeter l'eau du bain sans le bébé : autrement dit de garder le meilleur de la génétique et de la dignité, sans vouloir se défaire de ce qui semble, de prime abord, non conforme à un standard.
L'art de vivre : un moyen très correct de rester heureux et en santé
Ne nous décourageons pas ! Tout ce dont je vous parle, est à mon sens programmé (sinon je ne le percevrais pas), mais n'aura pas le temps d'une pleine exécution. Notre génération aura malgré tout le temps de gouter de ce système qui réduit le terrien à un animal domestique pucé et toléré par des maîtres exigeants qui s'en débarassent lorsqu'il commence à pisser partout. Tout ceci est assez facile à anticiper, même si nous restons à la merci d'un accident ou d'une maladie. Mais l'être humain est par nature fragile, autant s'y faire ! Ce n'est pas sur cette terre (ni sur la suivante) que nous connaîtrons la vie éternelle.
Pénuries et restrictions;nouvel ordre mondial
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